Projets nationaux
Analyse sociologique des tensions et des freins qui accompagnent le développement des programmes d’activités physiques destinés aux seniors fragiles
Dates : 01/03/2025 - 30/09/2029
Financement : ANR
Porteur de projet : Coordonné par Université de Toulouse 3
Partenaires :
- Université Toulouse 3
- Université Claude Bernard Lyon 1
- Université Gustave Eiffel
- Université des Antilles
- Université de Nîmes
- Université de Lille
Equipe TVES : Franck Bodin, MCF - Marie-Lavande Laidebeur, IGR - Louis Gantzer, IGE
Descriptif du projet :
Le projet de recherche APPAPA propose d’étudier le déploiement des dispositifs incluant des programmes d’AP concernant les personnes âgées de 60 ans et plus, identifiées comme « pré-fragiles », « fragiles » ou « dépendantes », afin de lutter contre leur perte d’autonomie. Il analyse leur apport dans les politiques de santé publique et cherche à comprendre les tensions et les freins qui accompagnent leur déploiement. L’étude implique dix terrains d’enquêtes correspondant aux espaces géographiques travaillés par le consortium, lui-même conçu pour couvrir une variété de territoires (de profils démographiques et socioéconomiques différents),favorisant une perspective comparatiste intra-territoriale, interterritoriale puis inter-sites. L’entrée théorique conjugue une démarche de géographie ssociale et d’action publique à une sociologie des régimes d’action et des justifications, sensible aux répertoires normatifs des dispositifs et aux formes d’ajustements entre acteurs hétérogènes. Les approches interactionnistes et socioécologiques utilisées favorisent l’étude de la participation des usagers. L’enquête comporte trois axes problématiques qui accompagnent la démarche de recherche à partir de trois niveaux d’échelle emboîtés et interconnectés selon le principe des « écologies liées ». Le premier axe (WPA) consiste à établir une cartographie des dispositifs de prévention des effets du vieillissement par l’activité physique sur chaque espace investi. Il procède ainsi à une typologie territoriale en recensant les dispositifs incluant des programmes d’AP destinés aux personnes âgées pré-fragiles ou fragiles, voire dépendantes. L’étude
envisage quatre principaux terrains d’enquêtes : 1/ gérontopôles, hôpitaux, cliniques - 2/collectivités territoriales - 3/ maisons pluridisciplinaires de santé ou de sport-santé - 4/ ESMS, EHPAD, EHPA et résidences seniors. L’objectif est de rendre lisible : la structuration de l’action publique dans ce domaine, les principaux acteurs mobilisés, les moyens et cibles visées, tout en situant les dispositifs recensés dans l’espace social, économique, géographique et culturel.
A travers une approche comparative, le WPA met à jour d’éventuelles inégalités territoriales. Le second axe (WPB) de l’étude engage l’analyse monographique approfondie de plusieurs dispositifs incluant des programmes d’AP, sélectionnés en raison de leur caractère archétypique. Il s’agit d’objectiver les régimes d’action accompagnant leur déploiement en interrogeant leur cadre organisationnel, les ressources disponibles, les savoirs mobilisés (répertoires normatifs, représentations de la fragilité, modes d’interventions à privilégier...), ainsi que les formes de collaborations entre les acteurs. L’analyse cherche à mieux saisir les expertises plurielles qui s’expriment dans ce domaine d’intervention sanitaire non médicamenteuse, marqué par des concurrences, des enjeux de savoir et de pouvoir traduisant des asymétries entre acteurs impliqués et révélant des difficultés de coordination. Le troisième axe (WPC) porte la focale sur la place accordée aux personnes âgées dans les programmes proposés. Il interroge la réalité d’une démarche participative ou inclusive, telle qu’elle est souhaitée par les autorités sanitaires. Pour cela, il croise l’étude de l’offre d’AP selon les
opérateurs impliqués avec l’analyse de sa réception par les publics concernés et leurs proches aidants. Il s’agit de cerner les usages des dispositifs et programmes d’AP étudiés en étant attentifs aux représentations sociales du vieillissement, aux critères de fragilité utilisés et à la prise en compte des facteurs biopsychosociaux et environnementaux dans les stratégies d’intervention privilégiées. Cela permet d’observer la réalité de l’implication active et
consciente des personnes aînées, considérant notamment l’importance des injustices/inégalités épistémiques, pouvant activer des formes d’âgisme dans ce secteur de la santé.
Mots clés :
- SH02_01 - Political systems, governance
- SH03_04 - Social integration, exclusion, prosocial behaviour
- SH02_02 - Democratisation and social movements
Dates : déc 2023-déc 2027
Financement : ANR
Porteur du projet et responsable scientifique : Catherine Roche PR ULCO
Partenaires : TVES (ULCO/ULille) LARJ (ULCO), LADIE (Université Côte d’Azur) , CDMO (UNantes)
Equipe du projet :
- Christophe Gibout (TVES ULCO)
- Mariantonia Lo Prete (TVES ULCO)
- Magali Lehardy (Université Côte d’Azur)
- Odile Delfour (Nantes Université)
- Martin Ndendé (Nantes Université).
- Frantz Mynard (Nantes Université)
Participation TVES : Catherine Roche, Christophe Gibout, Mariantonia Lo Prete
Descriptif du projet : L’objectif du projet est double : étudier les détroits (à travers une sélection) dans le cadre de la société internationale actuelle. Notre hypothèse est que les détroits sont aujourd’hui considérés sous des prismes différents (historique, environnemental, géopolitique, en matière de navigation…) qui pourraient amener à un changement de paradigme. Du point de vue de la valorisation, le projet permettra de mettre en place un outil unique en France, un observatoire international et interdisciplinaire des détroits qui sera accessible aux chercheurs et aux praticiens, avec des données actualisées et fiables.
Mots clés : Perspectives historiques ; Enjeux environnementaux ; Transports maritimes et géopolitique ; Observatoire des Détroits.
Lien vers Colloque « Détroits en guerre » les 14 et 15 octobre 2024 – École Militaire de Paris
Dates : 2023-2027
Financement : ANR
Porteur du projet : CNRS EconomiX
Responsable scientifique : César Ducruet (cesar.ducruet@economix.fr),Directeur de recherche, Géographie. EconomiX - CNRS
Equipe du projet : Anna Botasso, PR Université de Gênes - Maurizio Conti, PR Université de Gênes, Claudio Ferrari, PR Université de Gênes, Lorena Garcia-Alonso, MCF Université d'Oviedo, Frédéric Guinand, PR Université du Havre, Ping Hua, Chercheur EconomiX - CNRS, Hidekazu Itoh, PR Kansei Gakuin University, Nadine Levratto, Senior researcher EconomiX - CNRS, Bruno Marnot, PR Université de la Rochelle, Alessio Tei, MCF Université de Gênes
& Participants TVES :
- Mariantonia Lo Prete, MCF ULCO
- Philippe Chagnon, Ingénieur d'études ULCO
Résumé du projet : Ce projet vise à mieux comprendre la causalité circulaire entre développement socio-économique local et activités du transport dans le cas du secteur maritime et portuaire. Si les travaux empiriques sur l'impact économique des ports et leur connectivité abondent, ils sont autant de travaux dispersés et divers de par leurs méthodes, sources, et résultats. La base de données Lloyd's sur la navigation de la marine marchande de 1880 à nos jours permettra de reconstruire le réseau maritime mondial. Depuis les années 2000, nous mettrons à profit les résultats obtenus en travaillant sur des indicateurs régionaux plus fins ainsi que sur la faisabilité du report modal de la route vers des services maritimes à courte distance. Enfin, l'analyse des impacts socio-économiques sera complétée par celle des impacts des trafics portuaires sur l'environnement urbain et la santé des populations locales, à partir d'indicateurs sur la congestion, la qualité de l'air, et la démographie (ex : mortalité). Un travail de terrain viendra compléter le volet quantitatif par l'analyse en profondeur d'un échantillon de villes portuaires françaises et italiennes.
Mots clés : Maritime network, socio-economic development, flows, port cities, environmental and health challenges
Dates : janvier 2024 - juin 2025
Financeur : ANR
Participante TVES : Séverine FRERE, PR ULCO
Descriptif : La question de l’impact sur la santé de multi-expositions des agents polluants de natures diverses est de plus en plus souvent soulevée par la société civile, et de plus en plus largement étudiée par la communauté scientifique. Dans le domaine de la santé-environnement, si la conduite de recherches participatives est bien développée aux Etats-Unis d’Amérique, celle-ci reste moins développée en Europe et notamment en France. L’objectif du projet est de co-construire avec la société civile un projet de recherche participative sur les impacts sanitaires liés à la multi-exposition environnementale à différentes pollutions (radiologique, chimique notamment d’origines industrielles et agricoles) dans trois milieux (air, eau, sol) en vue d’identifier collectivement des actions préventives innovantes pour réduire les niveaux d’exposition les plus préoccupantes. Le projet veillera tout particulièrement à contribuer à l’empowerment (capacitation) des citoyens sur le territoire de Dunkerque, à travailler avec les habitants pour recueillir leurs préoccupations, leur perception de la pollution et leurs « croyances » parfois erronées sur celle-ci, à les accompagner à monter en compétence sur la multiexposition (radiologique/chimique) et leurs effets sanitaires/environnementaux pour leur permettre de mieux connaître ce à quoi ils sont confrontés dans l’objectif de formuler collégialement la/les futures questions de recherche et de réfléchir au protocole du futur projet de recherche visé post-AAP SAPS R2. Compte tenu de l’activité industrielle dense et de la présence de parties prenantes locales (chercheurs, SPPPI…) ayant une expérience sur le sujet de l’exposition multiple au croisement de différents polluants (radiologiques, chimiques notamment d’origines industrielles et agricoles), l'agglomération de Dunkerque sera le terrain d’étude.
Dates : Juil 2020 - Déc 2029
Financement : Programme des Investissements d’Avenir
Porteur du projet : Communauté Urbaine de Dunkerque Grand Littoral
Partenaires : Grand Port Maritime – ULCO – Ville de Dunkerque – Pôle d’excellence Energie 2020 - DK6 - Ecocem – GHRYD - CEATECH
Participants TVES : Michel CARRARD - Hervé FLANQUART - Séverine FRERE - Christophe GIBOUT - Iratxe CALVO MENDIETA - Louinord VOLTAIRE - Thibault PINTO
Résumé du projet : Faire du Dunkerquois un démonstrateur de l’industrie du XXIe siècle et développer les filières d’avenir. Cela passe par le renforcement de l’écologie industrielle et de l’économie circulaire, le soutien aux stratégies bas carbone et l’innovation dans le domaine énergétique. Avec le projet TIGA, une nouvelle ère s’ouvre pour le Dunkerquois, qui passe par l’exploration de nouveaux process industriels, la formation aux compétences et métiers de demain avec le soutien d’EuraEnergie, et une priorité : l’amélioration de la qualité de l’air, pour préserver la santé des habitants et conforter notre cadre de vie.
Dates : 2020-2024
AAP ou programme : AAP Tremplin
Financement : Fondation de France
Porteur du projet : Université de Caen
Responsable scientifique : Xavier MICHEL, MCF Université de Caen - UMR ESO
Partenaires : UMR ESO 6590 Le Mans, UMR LETG 6554 Nantes, UMR IDEES, EA CESAMS Caen, Région Normandie, Conservatoire du Littoral, ROL, Musée d’Utah Beach, Musée d’Arromanches, Bayeux intercom.
Participants TVES : Caroline RUFIN-SOLER (MCF) - Julien GUERRERO (doctorant)
Résumé du projet : Le terrain investigué est le littoral du périmètre du projet de classement des Plages du Débarquement au patrimoine mondial de l’Unesco, et en particulier les sites littoraux de mémoire du Débarquement.
L’objectif général du projet est de mener un diagnostic des pratiques et représentations des sites par les usagers, dans le contexte de l’évolution actuelle et à venir du littoral, pour informer les décideurs de ces pratiques et représentations, afin que cet apport de connaissances serve en matière d’aménagement, de gestion et de valorisation des sites et du territoire.
Mots clés : tourisme de mémoire, Normandie, risques littoraux, adaptation, démarches participatives
Dates : 2022-2025
Financement : Fondation de France
Porteur du projet : TVES ULCO, Philippe Chagnon
Partenaires : Xavier Delloue (Parc National de Guadeloupe) / Office National des forêts / Région Guadeloupe / Direction de la Mer / Conservatoire du Littoral / Association TiTé / Cluster Maritime Guadeloupe / Communauté de communes de Marie-Galante
Participant TVES : Philippe CHAGNON
Autres participations : Vincent ANDREU-BOUSSUT(Le Mans Université) – Arnaud BERNARD de LAJARTRE (Université d’Angers) - Céline CHADENAS (Université de Nantes)
Résumé du projet : Le projet NOUGA vise à repenser la gouvernance des espaces naturels protégés dans l’Archipel de Guadeloupe (La Désirade - îlets de Petite Terre, Marie-Galante et les Saintes), bénéficiant chacun de statuts de protection différenciés. Dans un contexte de croissance des contraintes pesant sur ces espaces (fréquentation touristique, réchauffement global, dispositifs réglementaires, ...), il est indispensable de penser la gestion de ces espaces non plus comme des entités indépendantes mais bien imbriquées les unes aux autres dans un ensemble spatial commun. Capitalisant les résultats d’une recherche exploratoire menée par les membres de l’équipe (2016-2018) sur la partie marine du Parc National de Guadeloupe (PRESSÎLES), le consortium composé de chercheurs et de partenaires sur le terrain propose de répondre à ces enjeux en mettant en place un protocole méthodologique innovant et collaboratif entre les différentes parties prenantes pour mener une réflexion collective autour d’une gouvernance plus en phase avec les objectifs à atteindre. Le projet s’appuiera à la fois sur les sites bénéficiant d’une protection réglementaire forte (cœurs de Parc et/ou Réserve naturelle nationale), d’une protection foncière (de type ONF et/ou CDL) ou au contraire de sites sans protection particulière mais situés dans et hors de l'aire maritime adjacente.
Dates : 01/03/2024 - 28/02/2027
Financement :Groupement d’intérêt public à vocation interministérielle, l’Europe des projets architecturaux et urbains (EPAU)
Porteurs du projet : ULCO - U LILLE - CNRS
Equipe du projet :
CNRS/ LASIRE
- Gabriel BILLON, professeur des universités, chimiste des environnements aquatiques, UMR LASIRE
- Ludovic LESVEN, maître de conférences, chimiste des environnements aquatiques, UMR LASIRE
Et participants TVES :
ULCO
- lratxe Calvo-Mendieta, Maîtresse de conférences en économie à l'ULCO, TVES;
- Michel Carrard, Maître de conférences HDR en aménagement de l'espace et Urbanisme à l'ULCO, TVES;
- Hervé Flanquart, Professeur des Universités en aménagement de l'espace et Urbanisme à l'ULCO, TVES
- Séverine Frère, Professeur des Universités en aménagement de l'espace et Urbanisme à l'ULCO, TVES
U LILLE
- Christophe Demazière, professeur des Universités, aménagement de l'espace et urbanisme, URL TVES
- Divya Leducq, professeure des Universités, géographie et urbanisme, URL TVES
- Helga-Jane Scarwell, professeur des Universités, aménagement de l'espace et urbanisme, URL TVES
Résumé du projet :
Les travaux désignés par cette convention s'inscrivent dans le cadre problématique commun à l'ensemble des territoires partenaires du programme POPSU Transitions. Il s'agit d'interroger les transitions qui ne concernent pas uniquement l'urgence écologique, mais dans une conception systémique, les questions sociales (de cohésion), numérique (de digitalisation), économique (de relocalisation), politique (de démocratisation), etc.
POPSU Transitions vise à documenter, mesurer et accompagner les politiques territoriales de transitions dans les domaines de la lutte contre le changement climatique, ainsi que les transformations en matière économique, sociale, numérique, culturelle, démocratique.
Les objectifs du programme sont les suivants :
- Mesurer les contributions des territoires aux politiques nationales de transitions, par l'agrégation d'indicateurs.
- Contribuer à la construction d'outils d'objectivation de la réduction de l'empreinte carbone des territoires.
- Suivre les politiques et projets mis en oeuvre dans les territoires. Des outils de mesure quantitative mis en place localement seront identifiés, d'autres seront produits ou agrégés. Les recherche-action documenteront le passage des intentions à l'action, et seront accompagnées d'un volet prospectif afin d'en anticiper les facteurs d'évolution. Capitaliser et diffuser les résultats locaux à destination de l'ensemble de la sphère État et des parties prenantes. Un rapport des transitions sera publié régulièrement afin de dresser un état des trajectoires de transitions. Il permettra de croiser et comparer les territoires dans leur appréhension des transitions
- Contribuer à la sensibilisation des acteurs, des élus et des citoyens La pédagogie de la transformation sera au coeur du programme.
Dates : 01/01/2024 – 31/12/2026
Nom du programme ou de l’AAP : Programme de recherche POPSU Transitions pour la collectivité locale, Métropole Européenne de Lille
Financement : Groupement d’intérêt public à vocation interministérielle, l’Europe des projets architecturaux et urbains (EPAU)
Porteur du projet : Université de Lille
Responsable scientifique : Marc Dumont, PR U LILLE
Partenaire : GIP L'Europe des projets architecturaux et urbains (EPAU)
Equipe du projet :
- Ornella Boutry, Clersé, Université de Lille
- Elodie Castex, TVES, Université de Lille Laurence Delatre, LEM, Université de Lille
- Sylvie Delmer; TVES, Université dè Lille Christophe Demazière, TVES, Université de Lille Marc Dumont, TVES, Université de Lille Bénédicte Grosjean, Lacth, ENSAPL
- Divya Leducq, TVES, Université de Lille
- Victoria Sachsé, TVES, Université de Lille
Résumé du projet :
Les objectifs du programme sont les suivants :
- Mesurer les contributions des territoires aux politiques nationales de transitions, par l'agrégation d'indicateurs.
- Contribuer à la construction d'outils d'objectivation de la réduction de l'empreinte carbone des territoires.
- Suivre les politiques et projets mis en œuvre dans les territoires. Des outils de mesure quantitative mis en place localement seront identifiés, d'autres seront produits ou agrégés. Les recherche-action documenteront le passage des intentions à l'action, et seront accompagnées d'un volet prospectif afin d'en anticiper les facteurs d'évolution. Capitaliser et diffuser les résultats locaux à destination de l'ensemble de la sphère État et des parties prenantes. Un rapport des transitions sera publié régulièrement afin de dresser
- un état des trajectoires de transitions. Il permettra de croiser et comparer les territoires dans leur appréhension des transitions
- Contribuer à la sensibilisation des acteurs, des élus et des citoyens. La pédagogie de la transformation sera au cœur du programme.
Dates : 2022-2024
Financement : ADEME
Porteur du projet : EA Habiter (Université de Reims)
Responsable scientifique : Sandra MALLET, MCF-HDR. Directrice de l'institut d’Aménagement des Territoires d’environnement et d'urbanisme de Reims
Partenaires : Équipe de recherche Habiter de l’Université de Reims (URCA), porteur principal - L’Équipe de recherche Territoires, Villes, Environnement, Sociétés (TVES) - UMR Environnement Ville Société (EVS)
Equipe du projet : La coordination sera assurée par l’équipe de recherche Habiter de l’Université de Reims (URCA), en particulier par la porteuse du projet qui sera épaulée d’un postdoctorant recruté sur projet. Les analyses par terrain seront réalisées par équipe : Bordeaux/Darwin Ecosystème : EA Habiter (S. Mallet, B. Dugua, A. Mège) ; Lille/La Lainière : EA TVES (M. Dumont, A. Groux) ; Lyon : UMR EVS (Th. Zanetti), EA Habiter (C. Blondel, B. Dugua). 2 IGE recrutés sur projet complèteront l’équipe pour les terrains lyonnais et lillois
Participants TVES : Marc DUMONT, Annette GROUX
Descriptif : Le projet Trans’Urba vise à comprendre les logiques temporelles spécifiques à l’urbanisme transitoire, à les mettre en relation avec celles de la durabilité et de la transition. Le projet s’appuie sur une étude empirique de 3 terrains spécifiques, ciblant des initiatives d’urbanisme transitoire en cours, menées dans les métropoles de Bordeaux, Lille et Lyon : Darwin Ecosystème (Bordeaux), l’îlot Mazagran (Lyon), le site de la Lainière dans la Métropole Européenne de Lille (Roubaix-Wattrelos)
Mots clés : Temporalités, urbanisme transitoire, transition
Dates : décembre 2023-2025
Financement : Institut National de la Jeunesse et de l’Education Populaire (INJEP)
Porteur de projet : Laboratoire TVES
Responsable scientifique du projet : Florian LEBRETON, MCF ULCO
Partenaires : Université Lyon 1 – Laboratoire L-VIS
Equipe du projet : Florian LEBRETON, MCF ULCO - Robin LESNE, MCF ULCO - Guillaume ROUTIER, MCF Université Lyon 1 (L-VIS)
Participants TVES : Florian LEBRETON - Robin LESNE
Résumé : Le projet TTEETR (Traces TErritorialites En Trail Running) propose d’étudier la pratique du trail running dans ses dimensions sociales et spatiales sous un angle interdisciplinaire et selon une méthodologie mixte qui combine des approches de recherche quantitatives et qualitatives. Le projet sera organisé autour de deux questions de recherche principales. D'une part, il visera à analyser les caractérisations sociogéographiques des pratiquants de trail-running et de leurs milieux de vie ainsi que leurs distributions spatiales. D'autre part, il cherchera à comprendre les territorialités et mobilités sportives multiscalaires des trail-runners dans trois configurations spatiales : littorale, urbaine et montagnarde. Dans cette perspective, les représentations sociales que les pratiquants associent aux espaces de pratique seront particulièrement étudiées. Plus qu’un cadre « naturel », nous formulons l’hypothèse principale que le milieu d’activité peut aussi être perçu comme un intermédiaire qui détermine les relations entre le pratiquant et son espace de pratique. Porté par l'université du Littoral Côte d'Opale, ce projet sera réalisé en partenariat avec l'Université Claude Bernard Lyon dans le but de mutualiser les compétences méthodologiques et disciplinaires complémentaires et de travailler à proximité de la diversité des territoires sportifs identifiés.
Mots clés : Territorialités, Mobilités, Trail-running, Méthode mixte